On abuse des reformulations euphémisantes. Il s’agit de le "laisser partir", de cesser le "maintien en vie", comme s’il fallait gommer et non assumer pleinement la radicalité de cette opinion : qu’une vie aussi loin des standards peut ou doit être abrégée.
Est-il juste de reprocher à une mère de ne pas savoir tourner la page, comme le fait un conjoint ? Un conjoint peut cesser de l’être, une mère le demeure à jamais.
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